No Limits!

Je suis fils unique, pourtant j’ai perdu un frère et mon cœur saigne.

HenriIl était jeune, il était fou, il aimait la vie et les bonnes choses. Son cœur n’avais pas de limite et il en faisait même sa devise : «  No limit ! » c’était un fonceur, un créateur. Toujours curieux, il avait fait sienne la doctrine de son père « Ne jamais rien prendre pour acquis et toujours tout remettre en question. »

Cette fois Henri, tu as encore repoussé les limites et les anges n’ont qu’à bien se tenir. Chaque fois que je verrais des traces rectilignes dans le ciel, je m’imaginerais que ce sont celle que tu laisses en faisant du ski céleste tiré par une nuée de chérubins essoufflés. Je t’imagine aussi à la barre d’un magnifique voilier céleste en compagnie de Stefan, cheveux au vent et sourire aux lèvres, navigant sur un océan de nuage…

Tu adorais les enfants tu étais leur « Tonton Henri » toujours près à toutes les folies! Tu leur manque déjà énormément.

Mon cœur saigne de te savoir déjà parti. Dieu te garde, mon ami, mon frère.

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2 réponses

  1. Castelier dit :

    Quel bel hommage!
    Merci pour lui!

  2. Stefan Metzeler dit :

    Bonjour,

    Je viens d’apprendre la mort de Henri.

    Je l’avais connu comme membre de notre club HP, dans les années 1980. Il était l’un de nos membres les plus actifs – et les plus brillants. Je publiais le magazine du club et Henri contribuait de nombreux articles, malgré son jeune âge.

    Quand il nous a invité chez lui, j’ai pu voir qu’il était le portrait craché de son père.

    Je l’avais perdu de vue par la suite et je me demandé parfois ce qu’il est devenu.

    Ce soir, je venais de voir une annonce de Kudelski et je me suis dit que je devrais enfin essayer de le contacter – et c’est là que j’ai trouvé l’annonce de son décès 🙁

    Puis j’ai trouvé votre hommage.

    Vous l’avez connu à l’âge adulte. J’aurais bien aimé en savoir plus de lui. Etait-il marié? Avait-il des enfants? Quelles étaient ses passions – en dehors de l’informatique? Celle-là, je pense qu’il ne l’a jamais abandonné.

    Meilleures salutations,

    Stefan Metzeler

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